Un policier a dû faire usage de son arme face à un requérant d’asile marocain possédant deux gros couteaux.
Un requérant d’asile marocain a été blessé par balle lors d’un contrôle de police dimanche soir à Zurich. L’homme a menacé avec des couteaux deux policiers qui voulaient le contrôler. Il a été blessé à la jambe et hospitalisé, a indiqué lundi la police cantonale zurichoise.
Deux policiers en civil ont voulu contrôler le Marocain dimanche vers 22h30 près de la gare. Le requérant a alors menacé les deux agents avec deux «gros couteaux». Les policiers ont fait usage d’un spray au poivre, mais l’homme a réussi à prendre la fuite.
Le requérant âgé de 24 ans a été rattrapé près du Musée national. Sous la menace de leurs armes, les policiers ont ordonné à l’homme de se coucher sur le sol. Le Marocain s’est alors mis à courir en direction des deux agents.
Un policier a tiré un coup de feu dans la jambe du requérant. Blessé, celui-ci a été transporté à l’hôpital. Un agent ayant fait usage de son arme de service, le ministère public a ouvert une enquête.
www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/Requerant-blesse-par-balle-par-un-policier-10024664
J’ai trouvé sur un blog de la Tribune de Genève cette prise de position concernant l’agression d’un « brave » portugais qui s’était fait défoncer à la sortie d’un dancing à Genève :
http://ladiscussionestfermee.blog.tdg.ch/archive/2012/12/25/un-homme-entre-la-vie-et-la-mort-apres-une-violente-agressio.html
« patron français = pain suisse à la poubelle | Page d’accueil
25/12/2012
Un homme entre la vie et la mort après une violente agression
Voilà.
Une fois de plus, l’alcool vient nous jeter au visage un drame de plus.
VISITEZ LE SITE L’image mérite d’être vue !
Cette « discothèque » de misère vient polluer chaque week-end le voisinage avec ses nuisances, son boucan, ses habitués totalement beurrés et éméchés qui en sortent en hurlant, en vociférant, en vomissant, en crachant et en perturbant tout le voisinage.
N’y a t-il pas un élu dans ce quartier qui puisse enfin faire quelque chose pour mettre fin à ce bordel ? Cet endroit qui n’attire que des désoeuvrés et des drogués -c’est du moins ce qui s’entend chaque week-end et qui me réveille le samedi matin et le dimanche matin – n’est qu’un infect et sinistre lieu de mauvaises rencontres.
Les plus à plaindre sont les concierges des immeubles alentour, obligés de ramasser canettes, bouteilles, mégots, dégobi, bref : tout le merdier que laissent ces ivrognes de fêtards derrière eux.