LA CÔTE | Chassés de Vernier (GE) lundi, les nomades se sont installés peu après sur un champ au nord de la ville, près des habitations.
«Ça s’est passé si vite cette fois, qu’on n’a rien vu venir», confesse l’adjudant Lacroix de la police de Nyon. La quarantaine de caravanes chassées l’après-midi même de Vernier (GE) est sortie de l’autoroute lundi vers 16 h 30. A leur arrivée, les agents n’ont pu que constater que le campement était déjà installé au lieu dit La Petite Prairie, à quelques dizaines de mètres des premières habitations et bureaux de la ville. «Je ne voulais pas entrer en matière, mais que peut-on faire? interroge Robert Girardet, propriétaire du champ occupé. J’avais deux choix: sortir la bossette à purin, mais je ne suis pas pour répondre violemment à l’agression que constitue l’invasion de mon terrain, ou demander une exécution forcée. Or, il aurait fallu porter plainte et attendre l’avis du juge. J’ai donc fini par négocier.» Les deux heures de palabres ont débouché sur un accord qui prévoit le versement de 2000 francs à l’agriculteur, 2500 francs à la commune et une promesse de départ dimanche. Pour sa part, la ville fournit une benne à ordures et un point d’eau.
Puis les policiers ont fait à leur tour du porte-à-porte dans le voisinage pour dispenser leurs conseils: «Ne laissez pas traîner les outils. Tout ce qui n’est pas sous clé, les gitans ont tendance à considérer que cela appartient à tout le monde. Ne les tentez pas», glissaient en substance les représentants de l’ordre.
De l’autre côté de la route, au Brico-Loisirs Migros, deux gardiens d’une agence de sécurité privée montent la garde et surtout montrent leur présence, à titre préventif. Au bout de son parking, le magasin compte aussi pour voisins les requérants d’asile hébergés dans un abri PCi.
Hier, les recommandations de la police ne semblaient pas troubler le voisinage. Contrairement au camp gitan où circulent sans cesse les puissantes voitures, le quartier nouvellement construit au Pré Cossy se caractérise, en cette période estivale, par le calme absolu en journée. Mis à part des gestionnaires de fortune et des informaticiens en pause nicotine sur leur palier, on ne croise pas grand monde dans les allées.
Les 53 caravanes occupent les regards distraits sans guère susciter de réaction. Et s’il devait y en avoir une, il s’agirait plutôt de curiosité et de fascination que de crainte. Seule la Ferrari F430, que l’on aperçoit entre caravanes et cordes à linge, suscite quelques remarques d’étonnement, voire un rien jalouses.
Système de caution
Malgré le dédommagement, le propriétaire du domaine occupé – qu’il n’habite pas – est amer. «Les gitans, ce n’est pas la première fois que je dois négocier avec, même si leur fonctionnement aujourd’hui n’est plus aussi tribal qu’il y a quarante ans. Ce qui me sidère, c’est que l’Etat ne cherche aucune solution. On se refile la patate chaude et le problème finit chez les privés.» En guise de solution, Robert Girardet suggère de mettre sur pied un contrat type, que le terrain appartienne à un privé ou à une collectivité. «Et il faudrait un système de caution, histoire de les responsabiliser en matière de dégâts et d’immondices.»
Municipale de la Police à Nyon, Elisabeth Ruey-Ray partage cet avis et souligne la difficulté à obtenir le dépôt d’une caution. «Nous avons tenté lors de leur venue en juin, mais je crois qu’ils n’ont pas compris de quoi il s’agissait. Sur le parking de Paléo, ils se sont plutôt bien comportés, mais la présence d’excréments tout autour du camp n’est pas tolérable.»
Selon l’élue nyonnaise, le réveil du groupe de travail Gitans-VD (lire ci-dessous) est une nécessité. Elle en appelle à une réflexion sur les coûts d’accueil et leur répartition. «Ce sont toujours les mêmes communes qui assument.» La municipale ne désespère pas de pouvoir établir et discuter des règles avec les gitans. «Il faut tout faire pour éviter un rejet radical de la part de la population.»
«Les gitans qui font leurs besoins partout, ce sont des gens sales!»
INTERVIEW EXPRESS
MAY BITTEL
pasteur manouche et président de la Mission tzigane suisse
– Le syndic de Lausanne a parlé, hier dans 24 heures , de «trait de caractère profond» pour légitimer l’état déplorable dans lequel certains gitans laissent les terrains qu’ils occupent. C’est une réalité?
– Ce n’est pas vrai. C’est comme prétendre que les gens du voyage ne font jamais leurs besoins deux fois au même endroit. Ce sont des bobards! Les gens qui se conduisent ainsi sont sales, un point c’est tout. Je n’irai jamais boire un café avec eux. Ce sont des imbéciles. La propreté, c’est un respect de soi-même et des autres. Si certains revendiquent cette attitude comme une tradition, comme une culture particulière, alors je m’en distancie totalement. L’aspect qui peut jouer un rôle par contre, c’est le fait que ces gens paient une location qui sert ensuite à la remise en état du terrain. Ils se disent que quitte à payer, ils peuvent se lâcher.
– Ces gens du voyage affirment se rendre à Belfort, pour une rencontre mondiale. Alors pourquoi ces haltes de plusieurs jours dans le canton de Vaud?
– Ils restent ici pour des questions financières. Ils en profitent pour faire du business. Ils achètent et ils revendent des choses. Ce type de commerce, le porte-à-porte, ne marche plus guère en France. En Suisse, il y a toujours un intérêt pour des tapis, par exemple. Les gitans connaissent bien ce marché. Ils s’approvisionnent auprès de grossistes, à Zurich. Aiguiser les couteaux, cela marche aussi. Imaginez une école qui disposerait de deux cents ciseaux pour les enfants. A 5 francs l’aiguisage d’un seul ciseau, c’est très intéressant.
– Quelle est votre solution pour un accueil décent des gens du voyage?
– Il est vrai que les places officielles ne sont pas attirantes pour nous. Pas pour une question de commodité, mais de proximité. Certaines familles sont en conflit. Il existe des litiges, parfois pour des questions de mariage. Alors ces places, ils les évitent. Pour moi, rien ne s’oppose à ce qu’ils soient accueillis, au cas par cas, sur des terrains privés. Mais ceux qui polluent, ceux qui ne respectent pas les règles élémentaires, il ne faut jamais les reprendre. Je vous le demande: ne nous mettez pas tous dans le même sac!
LAURENT ANTONOFF CÉLINE MICHEL
Le nombre de gens du voyage diminue
Les derniers passages de gens du voyage dans le canton peuvent donner l’impression d’un regain de leur présence dans le canton. Ces deux derniers mois, leur halte hors des deux aires de stationnement à Payerne et à Rennaz les ont amenés à Chavornay, à Saint-Légier, sur la plaine de l’Asse à Nyon et au Chalet-à-Gobet.
Pourtant, les chiffres sont en baisse selon Pierrette Roulet-Grin, préfète du district Jura-Nord vaudois et présidente du groupe de travail Gitans-VD: «Lors de notre dernière rencontre entre cantons romands, nous avons constaté une baisse de 30% en cinq ans du passage des gens du voyage qui ne vivent pas en Suisse.» Cette diminution explique pourquoi le groupe de travail est en repos depuis deux ans. La préfète explique cette tendance par diverses raisons: «Une récente loi française force les communes de plus de 7000 habitants à accorder une place de stationnement aux gens du voyage. Ils séjournent donc en France et ne font que de brefs trajets en Suisse pour leur commerce. En outre, bien des gens du voyage en France se marient en dehors de leur communauté et se sédentarisent.» Est-il nécessaire d’ouvrir une aire de stationnement sur La Côte, comme le demandait hier à la RSR la municipale nyonnaise de la Police Elisabeth Ruey-Ray? «Nous avions un projet à Nyon, mais les oppositions ont empêché cette réalisation», conclut la préfète.
http://www.24heures.ch/vaud-regions/actu/gitans-installent-portes-ville-2010-07-27
France | La moitié des camps illégaux de Roms en France seront démantelés d’ici trois mois, a annoncé ce mercredi le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux.
Il a annoncé des reconduites à la frontière « quasi immédiates » vers la Roumanie et la Bulgarie pour les Roms ayant commis des délits.
Le ministre a chiffré à environ 300 le nombre de « camps ou squatts » recensés dans le pays.
Le président Nicolas Sarkozy avait convoqué une réunion controversée pour examiner les « problèmes que pose le comportement de certains » parmi les Roms et les « gens du voyage » après des violences survenues il y a une dizaine de jours dans une commune du centre de la France.
Une gendarmerie avait été attaquée et des dégradations commises après la mort d’un jeune Tsigane tué par un gendarme au cours d’une course-poursuite.
Les « gens du voyage » – un terme administratif français regroupant diverses ethnies tsiganes, dont les Roms originaires des Balkans et principalement de Roumanie – représentent au total 400 000 personnes en France (95% d’entre eux ont la nationalité française). Les Roms comptent 15 000 personnes et sont en augmentation.
http://www.24heures.ch/actu/monde/moitie-camps-illegaux-roms-demanteles-trois-mois-2010-07-28
Retrouvez également un article sur le site du « 20minutes »
Le gouvernement français entend démanteler dans les trois mois environ 300 camps illégaux installés en France par des gens du voyage et des Roms.
La France procédera, parallèlement au démantèlement des camps, à la reconduite «quasi immédiate» en Roumanie et en Bulgarie des Roms ayant commis des atteintes à l’ordre public, a ajouté M. Hortefeux à l’issue d’une réunion interministérielle sur les gens du voyage, à l’Elysée. En 2009, plus de 10’000 Roms ont été expulsés de France.
Dans un communiqué, le président de la République Nicolas Sarkozy précise qu’une réforme législative sera entreprise «afin de rendre plus efficace le dispositif d’évacuation des campements illégaux.»
Grosses cylindrées
«Dans un délai de trois mois, la moitié des camps illicites seront démantelés, camps ou squatts», a dit Brice Hortefeux. Parmi les mesures arrêtées lors de la réunion de l’Elysée, il a également annoncé que dix inspecteurs des impôts seraient chargés de contrôler la situation des occupants des camps illégaux.
Autre mesure, Paris proposera à Bucarest que des policiers roumains puissent venir en France et inversement. Lors d’une courte déclaration, le ministre de l’intérieur a estimé que de nombreux Français étaient «surpris on observant la cylindrée de certains véhicules» qui tractent les caravanes.
Enfin, Brice Hortefeux a assuré que le gouvernement allait poursuivre le développement des aires d’accueil, ce qui correspond à une revendication des associations de soutien aux gens du voyage. «66% de celles qui étaient prévues par la loi de 2000 sont d’ores et déjà financées et l’effort sera donc poursuivi», a-t-il dit.
Eviter les «amalgames»
Nicolas Sarkozy a souhaité pour sa part que tout soit mis en oeuvre «pour éviter le risque d’un amalgame injuste entre les délinquants et la majorité des gens du voyage.»
Le chef de l’Etat avait convoqué cette réunion controversée pour examiner les «problèmes que pose le comportement de certains» parmi les Roms et les «gens du voyage» après des violences survenues il y a une dizaine de jours dans le centre de la France. Une gendarmerie avait été attaquée et des dégradations commises après la mort d’un jeune Tsigane tué par un gendarme au cours d’une course-poursuite.
Les «gens du voyage» représentent au total environ 400’000 personnes en France. 95% d’entre eux sont français et un tiers nomades. Les Roms, qui sont des Tziganes de nationalité roumaine, bulgare et d’Europe centrale, forment une minorité.
La réunion sur «les problèmes que posent le comportement de certains ressortissants des communautés au regard de l’ordre public et de la sécurité», a été dénoncée par l’opposition et les associations, qui y voient une stigmatisation.
http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Sarkozy-veut-d-manteler-300-camps-de-Roms-28255696
Suzy Desouche 
Nyon à nouveau confrontée aux gens du voyage
L’événement | Chassés de Vernier lundi, les Tziganes se sont installés dans un champ près des maisons à Nyon. May Bittel, le représentant de la communauté, explique pourquoi les terrains ne sont pas toujours adaptés. Genève ne compte aucune capacité d’accueil sur son territoire. Les gitans préfèrent rester sur territoire français.
Nyon
© Georges Meyrat/27 juillet 2010 | A l’entrée nord de Nyon, en face du Pré-Cossy, 53 caravanes se sont installées entre lundi et mardi après avoir été délogées de Vernier. Elles pourront rester jusqu’à dimanche.
Liens en relation avec l’article :
* Les gens du voyage font escale à Vernier, avant d’être délogés
DIDIER SANDOZ/NYON | 28.07.2010 | 00:02
«Ça s’est passé si vite cette fois, qu’on n’a rien vu venir», confesse l’adjudant Lacroix de la police de Nyon. La quarantaine de caravanes chassées l’après-midi même de Vernier est sortie de l’autoroute lundi vers 16 h 30. A leur arrivée, les agents n’ont pu que constater que le campement était déjà installé au lieu-dit La petite prairie, à quelques dizaines de mètres des premières habitations et bureaux de la ville. «Je ne voulais pas entrer en matière, mais que peut-on faire?, interroge Robert Girardet, propriétaire du champ occupé. J’avais deux choix: sortir la bossette à purin, mais je ne suis pas pour répondre violemment à l’agression que constitue l’invasion de mon terrain, ou demander une exécution forcée. Or, il aurait fallu porter plainte et attendre l’avis du juge. J’ai donc fini par négocier.» Les deux heures de palabres ont débouché sur un accord qui prévoit le versement de 2000 francs à l’agriculteur, 2500 francs à la commune et une promesse de départ dimanche. Pour sa part, la Ville fournit une benne à ordures et un point d’eau.
Puis, les policiers ont fait à leur tour du porte-à-porte dans le voisinage pour dispenser leurs conseils: «Ne laissez pas traîner les outils. Tout ce qui n’est pas sous clé, les gitans ont tendance à considérer que cela appartient à tout le monde. Ne les tentez pas», glissaient en substance les représentants de l’ordre.
De l’autre côté de la route, au Brico-Loisirs Migros, deux gardiens d’une agence de sécurité privée montent la garde et surtout montrent leur présence, à titre préventif. Au bout de son parking, le magasin compte aussi pour voisins les requérants d’asile hébergés dans un abri PCi.
Hier, les recommandations de la police ne semblaient pas troubler le voisinage. Contrairement au camp gitan où circulent sans cesse les puissantes voitures, le quartier nouvellement construit au Pré-Cossy se caractérise, en cette période estivale, par le calme absolu en journée. Mis à part des gestionnaires de fortune et des informaticiens en pause nicotine sur leur palier, on ne croise pas grand monde dans les allées.
Plus de curiosité que d’appréhension
Les 53 caravanes occupent les regards distraits sans guère susciter de réaction. Et s’il devait y en avoir une, il s’agirait plutôt de curiosité et de fascination que de crainte. Seule la Ferrari F430, que l’on aperçoit entre caravanes et cordes à linge, suscite quelques remarques d’étonnement, voire un rien jalouses.
Malgré le dédommagement, le propriétaire du domaine occupé – qu’il n’habite pas – est amer. «Les gitans, ce n’est pas la première fois que je dois négocier avec, même si leur fonctionnement aujourd’hui n’est plus aussi tribal qu’il y a quarante ans. Ce qui me sidère, c’est que l’Etat ne cherche aucune solution. On se refile la patate chaude et le problème finit chez les privés.» En guise de solution, Robert Girardet suggère de mettre sur pied un contrat type, que le terrain appartienne à un privé ou à une collectivité. «Et il faudrait un système de caution, histoire de les responsabiliser en matière de dégâts et d’immondices.»
Municipale de la police à Nyon, Elisabeth Ruey-Ray partage cet avis et souligne la difficulté à obtenir le dépôt d’une caution. «Nous avons tenté lors de leur venue en juin, mais je crois qu’ils n’ont pas compris de quoi il s’agissait. Sur le parking du Paléo, ils se sont plutôt bien comportés, mais la présence d’excréments tout autour du camp n’est pas tolérable.»
L’élue nyonnaise en appelle à une réflexion sur les coûts d’accueil et leur répartition. «Ce sont toujours les mêmes communes qui assument.» La municipale ne désespère pas de pouvoir établir et discuter des règles avec les gitans. «Il faut tout faire pour éviter un rejet radical de la part de la population.»
http://www.tdg.ch/actu/suisse/nyon-nouveau-confrontee-gens-voyage-2010-07-27
La police : « Tout ce qui n’est pas sous clé, les gitans ont tendance à considérer que cela appartient à tout le monde. »
Le pasteur gitan : « Ils achètent et ils revendent des choses. »
Le journaliste : « Seule la Ferrari F430, que l’on aperçoit entre caravanes et cordes à linge, suscite quelques remarques d’étonnement. »
Le pasteur gitan : « En Suisse, il y a toujours un intérêt pour des tapis, par exemple. Les gitans connaissent bien ce marché. Ils s’approvisionnent auprès de grossistes, à Zurich. Aiguiser les couteaux, cela marche aussi. Imaginez une école qui disposerait de deux cents ciseaux pour les enfants. A 5 francs l’aiguisage d’un seul ciseau, c’est très intéressant. »
Les Suisses sont de véritables drogués des tapis. Ils en consomment des quantités hallucinantes. Heureusement qu’il y a les gitans peur leur en procurer, car les Suisses ne connaissent pas le chemin de Zürich et de ses miraculeux entrepôts à tapis. Quant à l’aiguisage des ciseaux d’écoliers suisses, c’est un marché fabuleux, qui permet de se payer des Ferrari.
Ce « pasteur » est pasteur comme moi je suis archevêque, et il se fout de votre gueule.
Cela dit, mesurez votre chance d’avoir une police qui fait du porte-à-porte pour prévenir que les gitans sont des voleurs. En France, ça conduirait les gendarmes devant les tribunaux.
Le « pasteur » gitan « suisse » n’est qu’un opportuniste incrusté qui doit bien être venu d’ailleurs. Il vit sur un vaste terrain agricole acheté à Fr. 8.- le m2 et y a installé ses bâtiments et ses caravanes sans aucune autorisation et en bafouant les lois. Mais les lâches de la politique continuent de se foutre de nous. Là on a pas encore envoyé une police armée jusqu’aux dents, des centaines de policiers, pour des millions, comme avec le « forcené » de Bienne Peter Kneubuhler. Rien que pour ça il faut soutenir avec force et conviction le MCG et l’UDC. Deux partis ce n’est pas de trop contre la racaille internationaliste qui gouverne et qui possède comme par hasard les passeports de plusieurs pays étrangers, comme des baillis, transformant les citoyens d’origine en futur roms.
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A Nyon, un garage s’est fait volé plusieurs fois des voitures. La dernière fois ces sont des véhicules pour environ Fr.450’000.- qui ont été volés. La presse Edipress, grande manipulatrice au service de la dictature, a tu ce vol, comme elle organise l’information en minisant les saloperies et en taisant au maximum les origines.
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Ces gitans-roms-manouches etc, sont en fait en repérage. Leurs voiture de luxe, en règle pour les poulets d’occase aux ordre des la racaille internationaliste, sont en fait le résultat de ces vols. Celui qui veut une Ferrari légale, doit fournir plusieurs véhicules de luxe à des organisations criminelles chargées de légaliser les véhicules volés.
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Regardez bien, quand il mendient, si ce sont des femmes, il y a souvent un type qui attend en glandant à 50-100 mètres, pour vite aller l’aviser s’îl voit des poulets et vider la cagnotte. J’ai calculé que grâce aux imbéciles et salopards de tout âges qui leur donne, ils se font en moyenne du Fr. 50 .- par heure. Regardez aussi quand ils se contorsionnent pour faire croire à un handicap, et comme ils courrent comme des lapins lorsqu’il s’agit d’attraper le tram pour aller ailleurs.
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La politique est encombrée d’imbéciles, d’ignorants, de chômeurs, mais aussi de pervers, qui profitent de ces enfants prostitués par leur parents pour des prestations à caractère sexuels dans les WC publics. Ils sont tellement nombreux en politique, ce que confirme le chaos ambiant, qu’ils ont refusé de traiter du renvois des roms au Grand-Conseil à Genève. Suite à ces affaires de prostitutions enfantine. Les journaux officiels ont censurés des commentaires qui éclairaient les citoyens sur cette situation scandaleuse. Avec de tels salopard élus, vous pouvez craindre pour vos enfants. I
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l y a quelque temps un avocat, et ils sont trop nombreux dans les exécutifs et surtout les parlements, a pu obtenir un procès non publique pour une affaire de pédophilie. Pour protéger ces pédophiles, la mode homo et la propagande journalistique est aussi là pour confirmer qu’ils sont partout. De la presse aux prétoires ces pervers gouvernent. Ceux qui les mettront en cage et nous en débarrasseront seront des bienfaiteurs de l’humanité.
On pourrait ajouter une vérité qui tombe sous le sens, mais qui n’a jamais effleuré les gouvernants à la bonne conscience qui tirent de grosses ficelles pour s’appitoyer sur le sort des Roms. Quand vous faites l’inventaire du coût des attelages de ces Roms chéris, vous constatez qu’il y en a facilement pour 200 »000.- à 500’000.- francs.
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Ceci n’empêche pas des politicards à la recherche des voix des naïfs, voir des crétins, de faire comme si les pauvres du pays avaient de tels montant à leur disposition et de pleunicher pour qu’on offre à ses Roms chéris, des « campings » gratuits avec les sanitaires et le toutim, nettoyage compris… au nom des droits de l’homme, de certains hommes faudrait-il ajouter.
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Selon une ancienne info, il y a des maires de France, qui profitent lorsqu’ils sont sur leur territoire et ont le droit de vote, d’aller faire une tournée chez Darty et faire le plein de toutes sorte d’appareils électro-ménagers distribué gratuitement dans les camps. On comprend beaucoup mieux ces pleurnicheries qui constituent un coup de poignard dans le dos de la démocratie. Un forme de corruption!
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Un info de 3 ou 4 ans qui a très vite disparu, c’est que ces gentils organisés en bande, avec des femmes à la tête, invitaient draguaient des sdf dans les plus importantes villes et les invitaient à aller vivre à la campagne chez eux. Ils les bouclaient dans un véritable camp de concentration et avaient organisé cette charité, uniquement pour pouvoir s’emparer de leur revenu minimum d’insertion. Ils ont été attrapés et condamnés parce qu’une victime à pu s’échapper.
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Naturellement la presse d’ici n’en n’a pas soufflé, comme elle soutient les roms qui proposaient leurs enfants pour des services sexuels, puisque c’était la cause de l’intervention de l’UDC au Grand Conseil de Genève, pour exiger leur expulsion et que là aussi la presse n’en a soufflé mot, se félicitant presque de cette victoire des autres partis contre l’UDC. Il doit y avoir dans des politiciens bien pervers pour ne pas vouloir régler ces problèmes en faisant s’abstenant de luttes partisannes stériles. Peut être sont-il consommateurs et en nombres?